scène-de-conférence-du-2e-carrefour-de-l-agrivoltaïsme-2025-à-paris-plateau-avec-chaises-écran-vert-affichant-les-partenaires-enerplan-france-agrivoltaïsme-Imagreen

Carrefour de l’agrivoltaïsme 2025 – À l’occasion du 2ᵉ Carrefour de l’Agrivoltaïsme à Paris, la Directrice de notre agence d’Aix-en-Provence, a participé à une journée riche en retours d’expérience et débats techniques. Cette rencontre a offert des éclairages stratégiques autour d’un sujet qui façonne l’avenir agricole et énergétique de nos territoires. 

Cet évènement, illustre à quel point l’agrivoltaïsme n’est plus seulement une innovation technique. C’est un levier majeur de performance durable, à l’intersection de la résilience agricole et des besoins énergétiques régionaux. Un point parfaitement cohérent avec notre raison d’être.

Ce qui change : la fin du “90 %” uniforme ? 

L’INRAE propose d’adapter le seuil de rendement exigé pour démontrer une production agricole significative sous panneaux. Cette évolution s’inscrit dans les enjeux abordés lors du carrefour de l’agrivoltaïsme 2025.
L’idée : tenir compte du stress thermique propre à chaque zone. 

  1. Dans les régions soumises à un fort stress hydrique, la protection offerte par les installations agrivoltaïques améliore le rendement par rapport à une parcelle témoin. 
  1. À l’inverse, dans les zones peu soumises au stress climatique, atteindre 90 % de rendement comme l’exige actuellement le décret devient peu réaliste. 

Ce que cela implique : 
Une réglementation plus fine, plus juste et surtout plus ancrée dans les réalités terrain. C’est une approche qui fait directement écho à l’ADN Imagreen : actions concrètes, adaptées et immédiatement activables.

Enerplan a rappelé un enjeu essentiel : redonner de la visibilité technique, économique et financière, en proposant la création d’un observatoire indépendant de l’agrivoltaïsme. 

Un tel outil permettrait : 

  • Une lecture incontestable des performances  
  • Un suivi homogène entre acteurs  
  • Une montée en maturité collective  
  • Une lutte accrue contre l’hétérogénéité des pratiques, source de défiance 

En parallèle, la publication rapide de la PPE reste indispensable pour donner un cap commun. 

France Agrivoltaïsme a proposé la création d’un scoring des résultats CDPENAF par département. 
Objectif : identifier plus facilement les blocages, les disparités d’instruction, voire d’éventuelles dérives. 

La DGEC a confirmé sa volonté : surveiller de près les dynamiques locales, élément essentiel pour fluidifier les projets et renforcer la cohérence territoriale. 

Ce type d’outil répond à une attente croissante des acteurs : plus de lisibilité, plus d’équité, plus de prédictibilité. Ces trois leviers sont indispensables pour sécuriser des investissements de long terme. 

Ces trois tendances confirment un changement profond : 

  1. L’agrivoltaïsme entre dans une phase de structuration, où l’exigence technique rencontre des enjeux sociaux, climatiques et réglementaires  
  1. La filière se professionnalise, se dote de nouveaux outils, ouvre la voie à plus de transparence et de cohérence  
  1. Les territoires deviennent le cœur de la transition énergétique, en ligne avec les grandes tendances identifiées dans nos études sectorielles. 

Notre rôle : faire émerger des projets viables, équilibrés et désirables 

Chez Imagreen, nous accompagnons les développeurs solaires, les agriculteurs et les institutions dans la co-construction de projets agrivoltaïques techniquement solides, agronomiquement cohérents et acceptables localement

Envie de passer à l’action ? 

Vous souhaitez sécuriser vos projets agrivoltaïques ou bénéficier d’une expertise agronomique indépendante ? 
Contactez-nous 

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Carrefour de l’agrivoltaïsme 2025 – À l’occasion du 2ᵉ Carrefour de l’Agrivoltaïsme à Paris, la Directrice de notre agence d’Aix-en-Provence, a participé à une journée riche en retours d’expérience et débats techniques. Cette rencontre a offert des éclairages stratégiques autour d’un sujet qui façonne l’avenir agricole et énergétique de nos territoires. 

Cet évènement, illustre à quel point l’agrivoltaïsme n’est plus seulement une innovation technique. C’est un levier majeur de performance durable, à l’intersection de la résilience agricole et des besoins énergétiques régionaux. Un point parfaitement cohérent avec notre raison d’être.

Ce qui change : la fin du “90 %” uniforme ? 

L’INRAE propose d’adapter le seuil de rendement exigé pour démontrer une production agricole significative sous panneaux. Cette évolution s’inscrit dans les enjeux abordés lors du carrefour de l’agrivoltaïsme 2025.
L’idée : tenir compte du stress thermique propre à chaque zone. 

  1. Dans les régions soumises à un fort stress hydrique, la protection offerte par les installations agrivoltaïques améliore le rendement par rapport à une parcelle témoin. 
  1. À l’inverse, dans les zones peu soumises au stress climatique, atteindre 90 % de rendement comme l’exige actuellement le décret devient peu réaliste. 

Ce que cela implique : 
Une réglementation plus fine, plus juste et surtout plus ancrée dans les réalités terrain. C’est une approche qui fait directement écho à l’ADN Imagreen : actions concrètes, adaptées et immédiatement activables.

Enerplan a rappelé un enjeu essentiel : redonner de la visibilité technique, économique et financière, en proposant la création d’un observatoire indépendant de l’agrivoltaïsme. 

Un tel outil permettrait : 

  • Une lecture incontestable des performances  
  • Un suivi homogène entre acteurs  
  • Une montée en maturité collective  
  • Une lutte accrue contre l’hétérogénéité des pratiques, source de défiance 

En parallèle, la publication rapide de la PPE reste indispensable pour donner un cap commun. 

France Agrivoltaïsme a proposé la création d’un scoring des résultats CDPENAF par département. 
Objectif : identifier plus facilement les blocages, les disparités d’instruction, voire d’éventuelles dérives. 

La DGEC a confirmé sa volonté : surveiller de près les dynamiques locales, élément essentiel pour fluidifier les projets et renforcer la cohérence territoriale. 

Ce type d’outil répond à une attente croissante des acteurs : plus de lisibilité, plus d’équité, plus de prédictibilité. Ces trois leviers sont indispensables pour sécuriser des investissements de long terme. 

Ces trois tendances confirment un changement profond : 

  1. L’agrivoltaïsme entre dans une phase de structuration, où l’exigence technique rencontre des enjeux sociaux, climatiques et réglementaires  
  1. La filière se professionnalise, se dote de nouveaux outils, ouvre la voie à plus de transparence et de cohérence  
  1. Les territoires deviennent le cœur de la transition énergétique, en ligne avec les grandes tendances identifiées dans nos études sectorielles. 

Notre rôle : faire émerger des projets viables, équilibrés et désirables 

Chez Imagreen, nous accompagnons les développeurs solaires, les agriculteurs et les institutions dans la co-construction de projets agrivoltaïques techniquement solides, agronomiquement cohérents et acceptables localement

Envie de passer à l’action ? 

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